Il n’est pas dans mes habitudes de lire cette presse qui a tôt fait de glorifier la moindre starlette de télé-réalité ou le dernier mannequin à la mode. Pourtant j’écris aujourd’hui sur cette hypocrisie constante qui consiste à glorifier la première ronde qui s’affiche sans complexe pour sans cesse retomber dans les mêmes travers de cette course à la normalité. Poils, peau, cheveux, poids sont régulièrement la cible de guides faits des mêmes conseils reformulés tous les six mois. Évidement il serait naïf d’exclure l’objectif marketing derrière cette lâcheté, les régimes sans efforts font la joie des magazines à l’approche des vacances d’été.
Afficher bourrelets ou aisselles poilues sont devenus signes de courage.
C’est sans compter la vision générale de la femme/ mère avec la bonne épouse et l’instinct maternel entre autres poncifs.
Les quelques exemples qui suivent ont été piochés dans le même numéro.
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