L’actualité vidéo-ludique fait rarement l’objet de reportage dans les médias généralistes. Le 9 octobre 2013 est sorti en France Beyond: Two Souls un bijou esthétique, une démonstration des dernières avancées technologiques avant la sortie des consoles nouvelle génération.
Le but n’est pas d’évoquer la qualité du jeu mais la perception du jeu vidéo en général.
Loisir, pas encore art, le jeu vidéo est un sous-genre cinématographique si l’on en croit les expressions typiques de la critique cinématographique: évocation d’un scénatio solide, mise en scène :
Le Monde – Le cinéma mène les jeux
L’appréciation du jeu vidéo est encore tributaire du cinéma. Le gameplay est une invention et un mot typiquement vidéoludique encore peu usité, voire même un peu obscur pour le grand public. Or cette spécificité est une voie vers l’anoblissement.
L’actualité du jeu se limite aux polémiques sur sa violence, ses liens avec le cinéma évidemment ou encore ses prouesses financières. La récente mort de la figure emblématique Hiroshi Yamauchi, fut annoncée de manière discrète. Pourtant cet homme a certainement façonné l’actuel paysage vidéo-ludique, son immense travail au sein de l’industrie Nintendo a créé une foule de référence pour cette génération des années 80 et 90 née avec le jeu vidéo.
Faut-il trouver des repères communs et évidents pour le grand public pour enfin aborder le jeu en tant qu’objet à part entière? L’approche actuelle est encore trop réductrice.
Exception est faite pour les compositeurs tel le grand Koji Kondo, dont l’oeuvre (Zelda, Mario…) a fait l’objet de concerts et tournées à travers le monde. Il lui est reconnu le talent d’avoir su adapter sa musique à la jouabilité. Suivre @AmandineDmm!function(d,s,id){var js,fjs=d.getElementsByTagName(s)[0];if(!d.getElementById(id)){js=d.createElement(s);js.id=id;js.src= »//platform.twitter.com/widgets.js »;fjs.parentNode.insertBefore(js,fjs);}}(document, »script », »twitter-wjs »); 
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